- Des performances impactées par un climat exceptionnellement doux en Europe
- Croissance organique du Résultat Opérationnel Courant (ROC)1° de + 5,9 % corrigée du climat et du rattrapage tarifaire en France
- Nouvelle diminution de la dette nette
- Confirmation des objectifs annuels
Le chiffre d’affaires au 31 mars 2014 s’élève à 22 818 millions d’euros, en recul de – 5,9 % en brut et de – 4,8 % en organique. Le recul organique s’explique essentiellement par l’impact défavorable du climat sur les ventes de gaz (le premier trimestre 2014 ayant été très doux en Europe et notamment en France alors que le premier trimestre 2013 avait été particulièrement froid).
L’Ebitda1 sur la période s’élève à 4 225 millions d’euros, en recul de – 15,6 % en brut et de – 11,5 % en organique par rapport à 2013. Corrigé de l’effet climat en France et du rattrapage tarifaire enregistré en 2013 qui pèsent pour 545 millions d’euros dans la variation négative, l’Ebitda est stable en organique par rapport à 2013. En ligne avec les indications annuelles du Groupe, il bénéficie des efforts du plan de performance Perform 2015 et de la poursuite du développement du Groupe dans le renouvelable et sur les marchés à forte croissance avec la mise en service de nouveaux actifs et de nouveaux champs d’exploration-production. Il continue cependant à subir la baisse des prix de marché d’électricité en Europe conformément aux prévisions et se compare à un premier trimestre 2013 particulièrement favorable pour la production d’électricité au Brésil.
Le résultat opérationnel courant3 s’élève à 3 130 millions d’euros, en recul de – 14,8 % en brut et de – 10,4 % en organique par rapport à fin mars 2013. Corrigé de l’effet climat en France et du rattrapage tarifaire enregistré en 2013, le résultat opérationnel courant est en croissance organique de + 5,9 %, en ligne avec les indications annuelles du Groupe.
Au 31 mars 2014, la dette nette s’établit à 26,7 milliards d’euros, en recul de 2,5 milliards d’euros par rapport à fin 2013 dont environ 0,9 milliard d’euros lié à l’impact positif sur le besoin en fond de roulement du climat en France et intègre notamment sur la période :
- 3,3 milliards d’euros de Cash Flow From Operations (équivalent à 2,9 milliards de free cash flow) ;
- 1,4 milliard d’euros d’investissements bruts.
Le ratio dette nette/Ebitda est à 2,18x, très en dessous de l’objectif ≤2,5x. A fin mars 2014, le Groupe affiche un niveau élevé de liquidité à 18,5 milliards d’euros, dont 10,5 milliards d’euros de trésorerie. Début avril, GDF SUEZ a signé avec 25 banques une ligne de crédit multi-devises de 5 milliards d’euros d’une durée de 5 ans avec deux options d’extension d’un an pour refinancer deux lignes de crédit non tirées arrivant à échéance en 2014 et 2015. Le coût moyen de la dette brute poursuit sa baisse à 3,22 % reflétant l’effet année pleine des actions menées en 2013.
Les performances du premier trimestre 2014 sont en ligne avec la trajectoire attendue et le Groupe est donc en mesure de confirmer ses objectifs financiers3 pour 2014 :
- un résultat net récurrent part du Groupe4 entre 3,3 et 3,7 milliards d’euros, à climat moyen et régulation stable. Cet objectif repose sur une estimation d’Ebitda comprise entre 12,3 et 13,3 milliards d’euros ;
- des investissements nets entre 6 et 8 milliards d’euros ;
- un ratio dette nette/Ebitda inférieur ou égal à 2,5x et le maintien d’une notation de catégorie « A » ;
- un dividende au titre de 2014 avec un taux de distribution de 65-75% (pay-out)5, avec un minimum de 1 euro par action, payable en numéraire. Le Groupe rappelle que le dividende au titre de 2013 est maintenu à 1,5 euro par action.
Faits marquants de la période
Le Groupe implémente sa stratégie déclinée en deux axes :
Etre l’énergéticien de référence sur les marchés à forte croissance :
- Obtention de l’autorisation d’exporter du GNL pour le projet américain Cameron LNG dans lequel GDF SUEZ dispose d’une participation de 16,6 % et 4 millions de tonnes par an (mtpa) de capacités de liquéfaction ;
- Signature d’un contrat de vente de 0,8 mtpa de GNL provenant du projet Cameron LNG sur une période de 20 ans avec l’entreprise taïwanaise CPC ;
- A Oman, inauguration des centrales électriques Sohar 2 et Barka 3 d’une capacité installée totale de 1 488 MW ;
- Au Mexique, signature d’un protocole d’accord et de coopération avec PEMEX pour promouvoir le développement de projets énergétiques ;
- Au Brésil, mise en service commerciale de 5x75MW hydraulique (Jirau) et de 115 MW éolien (Trairi);
- En Uruguay, affrètement du plus important terminal flottant de stockage et de regazéification de GNL au monde dans le cadre du projet GNL del Plata ;
- Au Chili, optimisation des installations de stockage GNL sur le terminal de Mejillones ;
- En Chine, signature d’un accord de coopération majeur avec Beijing Enterprise Group pour développer des projets énergétiques en Chine et favoriser le développement urbain durable d’éco-quartiers ;
- Mise en service des champs E&P, Amstel (Pays-Bas), Juliet (UK) et Gudrun (Norvège).
Etre leader de la transition énergétique en Europe :
- Au Royaume-Uni, acquisition de la société West Coast Energy, développeur éolien ;
- En France, GDF SUEZ a été retenu pour 10 projets solaires photovoltaïques représentant une puissance de 53,35 MW ;
- Attribution du marché pour la construction des futurs compteurs communicants Gazpar ;
- Développement prometteur de l’injection de biométhane sur le réseau français et 4 sites connectés à ce jour ;
- Renouvellement des contrats de réseaux de chaleur de Saint-Denis, Massy/Antony et Rennes (France).
Par ailleurs, le groupe Magritte, réunissant 11 des plus grands énergéticiens européens à l’initiative du Groupe, a formulé neuf recommandations afin de réformer la politique énergétique et climatique de l’Europe en vue d’atteindre les trois objectifs majeurs de compétitivité, de durabilité et de sécurité des approvisionnements. En France, un nouveau décret relatif aux obligations de stockage de gaz constitue un premier pas vers une amélioration de la sécurité d’approvisionnement.
Le chiffre d’affaires est en recul de – 5,9 % en brut avec + 50 millions d’effets périmètre (- 180 millions d’effets sortants et + 230 millions d’euros d’effets entrants liés notamment à l’acquisition de Balfour Beatty Workplace au Royaume-Uni) et – 330 millions d’euros d’effets change, principalement sur le real brésilien, le dollar australien et le dollar US. En organique, le chiffre d’affaires recule de – 4,8 %.
Le chiffre d’affaires de la branche Energy International s’établit à 3 568 millions d’euros, en baisse brute de -7,4 % et en croissance organique de + 3,0 %. Ces évolutions intègrent d’une part l’impact du programme d’optimisation du portefeuille (- 141 millions d’euros) et l’évolution des taux de change (- 249 millions d’euros, en raison de l’appréciation de l’euro par rapport à toutes les principales monnaies), et d’autre part la croissance organique avec la mise en service de nouvelles centrales en Amérique latine et l’augmentation des prix de l’électricité principalement au Brésil et en Amérique du Nord.
AMERIQUE LATINE
Le chiffre d’affaires de la région Amérique latine s’établit à 933 millions d’euros, en baisse brute de – 1,4 % principalement due à la dépréciation du real brésilien mais en croissance organique de + 12,3 %.
Au Brésil, la hausse des ventes résulte de l’augmentation des prix de vente moyens, liée notamment à l’indexation sur l’inflation, et de la mise en service progressive du parc éolien de Trairi (115 MW). Toutefois, cette hausse des prix de vente ne compense pas intégralement l’augmentation du coût des achats d’énergie sur la période.
L’activité du Groupe au Pérou présente une évolution positive grâce à la mise en service de la centrale thermique Ilo (560 MW) en juin 2013 et à la hausse de la demande de la part de certains clients. Au Chili, on constate une légère augmentation du chiffre d’affaires grâce à une hausse des prix.
ASIE PACIFIQUE
Le chiffre d’affaires de la région s’élève à 663 millions d’euros, en baisse brute de -14,5 % et en baisse organique de – 2,5 %. Cette baisse est due principalement aux activités de production électrique en Australie qui ont souffert du recul de la demande et d’une moindre disponibilité partiellement compensées par une hausse des ventes aux clients industriels en Thaïlande et par une bonne performance de l’activité de détail en Australie.
AMERIQUE DU NORD
Le chiffre d’affaires de la région Amérique du Nord atteint 995 millions d’euros, en croissance brute de + 3,8% et en augmentation organique de + 17,8 %, notamment grâce à la bonne performance opérationnelle des actifs de production électrique aux Etats-Unis, liée aux conditions climatiques très froides du début d’année 2014, et grâce à des prix de vente moyens en hausse sur le marché de détail électricité aux Etats-Unis.
ROYAUME-UNI ET AUTRE EUROPE
Le chiffre d’affaires de la région s’élève à 840 millions d’euros, en diminution brute de – 19,4 % notamment suite au programme d’optimisation de portefeuille en Europe continentale et en diminution organique de -14,0 %, conséquence de la baisse des volumes d’activité au Royaume-Uni.
ASIE DU SUD, MOYEN-ORIENT & AFRIQUE
Le chiffre d’affaires de la région s’élève à 137 millions d’euros, en croissance brute de + 5,6 % et en croissance organique de + 7,5 %. Cette croissance est liée à l’augmentation des revenus des activités d’opération et de maintenance relatives à de nouvelles centrales à Oman (Barka 3 et Sohar 2) et en Arabie Saoudite (Riyadh IPP). L’évolution brute reflète aussi l’acquisition en décembre dernier de Meenakshi en Inde (300 MW) en partie compensée par la cession partielle de Sohar.
Le chiffre d’affaires de la branche Energie Europe s’établit à 12 711 millions d’euros, en recul de – 9,7 % en variation brute. Cette baisse s’explique principalement par l’impact du climat sur les ventes de gaz (le premier trimestre 2014 ayant été particulièrement doux alors que le premier trimestre 2013 avait été particulièrement froid) et par le rattrapage tarifaire en France relatif à 2011 et 2012 enregistré en 2013.
CWE FRANCE
A fin mars 2014, le chiffre d’affaires contributif de la France s’établit à 5 260 millions d’euros, en baisse de – 27,3 % par rapport à celui de mars 2013, principalement du fait de la différence de climat entre 2013 et 2014 et du rattrapage tarifaire relatif à 2011 et 2012.
Les ventes de gaz naturel sont en baisse, pénalisées par un hiver exceptionnellement doux ( – 10,7 TWh) alors qu’il avait fait très froid en 2013 (+ 13,2 TWh), les économies d’énergie et la pression concurrentielle. GDF SUEZ maintient une part de marché d’environ 82 % sur le marché des particuliers et d’environ 50% sur le marché B2B.
Quant aux ventes d’électricité, celles-ci progressent grâce à la croissance sur le segment des clients finaux, malgré la moindre production d’électricité des centrales à gaz, partiellement compensée par la hausse de la production éolienne et hydraulique bénéficiant de bonnes conditions de vent et d’hydraulicité sur le premier trimestre 2014.
CWE BENELUX – Allemagne
Le chiffre d’affaires de Benelux – Allemagne s’établit à 3 087 millions d’euros, en retrait de – 18,9 % par rapport à 2013. Les volumes d’électricité vendus sont en baisse sous l’effet du tassement des ventes aux clients en Belgique et de moindres ventes sur les marchés, malgré une production d’électricité plus élevée qu’en 2013, les deux centrales de Doel 3 et Tihange 2 ayant été en service jusqu’au 25 mars 2014 alors qu’elles étaient à l’arrêt sur la totalité du premier trimestre 2013.
En Belgique et au Luxembourg, les ventes d’électricité diminuent, principalement en raison de la baisse des ventes sur les marchés et de l’érosion des parts de marché en 2013. La part de marché en Belgique sur le marché des particuliers se stabilise à environ 50 % à partir du deuxième trimestre 2013. Aux Pays-Bas, les ventes d’électricité sont également en baisse alors qu’elles augmentent légèrement en Allemagne.
Les volumes de gaz vendus sont en baisse du fait des conditions climatiques défavorables en 2014 alors qu’elles étaient favorables en 2013 et du fait de l’érosion des parts de marché en 2013 mais stabilisées depuis les six derniers mois autour de 45 % en Belgique.
SOUTHERN & EASTERN EUROPE
La zone Southern & Eastern Europe voit son chiffre d’affaires baisser de – 14,9 %, notamment sous l’effet de la baisse des ventes gaz et de la production d’électricité en Italie.
Le chiffre d’affaires contributif au 31 mars 2014 s’élève à 1 660 millions d’euros, en hausse brute de + 4,7% par rapport à fin mars 2013, et en croissance organique de + 7,8 %.
L’évolution du chiffre d’affaires contributif s’explique par :
- la progression de l’activité GNL, avec une forte activité d’arbitrage début 2014 en Asie et en Europe reflétée par une progression des ventes externes de GNL de 5,7 TWh, soit 27,4 TWh totalisant 34 cargaisons à fin mars 2014 contre 21,7 TWh totalisant 24 cargaisons à fin mars 2013 ;
- une légère baisse du niveau de la production contributive d’hydrocarbures de l’Exploration & Production, (11,2 millions de barils équivalent pétrole-Mbep à fin mars 2014 vs 11,6 Mbep à fin mars 2013) du fait de l’arrêt temporaire de la production de Njord en Norvège.
La production totale d’hydrocarbures à fin mars 2014 est en baisse de 0,5 Mbep à 12,7 Mbep vs 13,2 Mbep à fin mars 2013. Sur l’année, le niveau de production d’hydrocarbures bénéficiera des récentes mises en service des champs d’Amstel (Pays-Bas), Juliet (UK) et Gudrun (Norvège).
Le chiffre d’affaires total de la branche Infrastructures, y compris intragroupe, s’élève à 2 087 millions d’euros, en baisse de – 3,4 % par rapport à 2013 du fait :
- de la baisse des quantités acheminées par GrDF en raison d’un climat plus chaud en 2014 qu’en 2013 (- 31,3 TWh),
- d’une moindre commercialisation des capacités de stockage en France ;
et malgré la révision annuelle du tarif d’accès aux infrastructures de distribution (+ 4,1 % au 1er juillet 2013) et celle du tarif d’accès aux infrastructures de transport (+ 8,3 % au 1er avril 2013) en France.
Dans le même contexte climatique et régulatoire, le chiffre d’affaires contributif atteint 900 millions d’euros, en progression de + 13 %. Cette croissance traduit :
- le développement des activités de transport, stockage et « terminalling » pour le compte de tiers du fait de l’ouverture croissante des marchés ;
- l’accroissement des opérations d’achat-vente de gaz pour maintenir les performances techniques des stockages.
Le chiffre d’affaires de la branche Energie Services progresse à 3 979 millions d’euros au 31 mars 2014, soit une variation brute de + 1,1 % portée par l’acquisition de Balfour Beatty Workplace au Royaume-Uni en fin d’année dernière.
La variation organique du chiffre d’affaires ressort à – 3,4 % et s’explique notamment par les effets défavorables du climat doux et par les derniers impacts de l’arrêt des contrats de cogénération gaz en France et en Italie suite à la fin des régimes d’obligation d’achat de l’électricité produite par ces actifs.
Ces éléments sont partiellement compensés par la hausse des activités installations en France et Benelux, en particulier dans les activités de génie électrique et de génie climatique.
La présentation de la conférence téléphonique investisseurs sur les résultats au 31 mars 2014 sera disponible sur le site internet du Groupe :
Accéder à la retransmission audio
PROCHAINS EVENEMENTS
- 6 mai 2014 : Paiement du solde du dividende7 (0,67 € par action) au titre de l’exercice 2013. La date de détachement du dividende est fixée au 30 avril 2014
- 31 juillet 2014 : Publication des résultats semestriels 2014
- 15 octobre 20148 : Paiement d’un acompte sur dividende de 0,50 euro par action au titre de l’exercice 2014, date de détachement le 13 octobre 2014
1 y compris quote-part de résultat des sociétés en équivalence ; nouvelle définition de l’EBITDA
2 impact de 545 millions d’euros sur l’Ebitda et le ROC, impact sur le chiffre d’affaires estimé à 1,2 milliards d’euros
3 Ces objectifs reposent sur des hypothèses de climat moyen, d’absence de changement substantiel de règlementation et de l’environnement macro-économique, d’hypothèses de prix des commodités basées sur les conditions de marché à fin décembre 2013 pour la partie non couverte de la production, et de cours de change moyen suivants pour 2014 : 1,38 €/$, 3,38 €/BRL. Pas de changement d’hypothèse concernant les centrales de Doel 3 et Tihange 2 : redémarrage après les résultats des tests attendus mi juin 2014.
4 Résultat net hors coûts de restructurations, MtM, dépréciations d’actifs, cessions, autres éléments non récurrents et impacts fiscaux associés et contribution nucléaire en Belgique
5 Sur la base du résultat net récurrent, part du Groupe
6 ROC (Résultat opérationnel courant) : y compris quote-part de résultat des sociétés en équivalence
7 Dividende soumis à l’approbation des actionnaires réunis en Assemblée générale ce 28 avril 2014
8 Sous réserve de la mise en oeuvre du nouveau cycle de règlement livraison en France prévu le 6 octobre 2014. Un report de cette réforme décalerait la date de paiement au 16 octobre 2014 conformément aux règles actuelles au lieu du 15 octobre 2014.
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GDF SUEZ inscrit la croissance responsable au coeur de ses métiers (électricité, gaz naturel, services à l’énergie) pour relever les grands enjeux énergétiques et environnementaux : répondre aux besoins en énergie, assurer la sécurité d’approvisionnement, lutter contre les changements climatiques et optimiser l’utilisation des ressources. Le Groupe propose des solutions performantes et innovantes aux particuliers, aux villes et aux entreprises en s’appuyant sur un portefeuille d’approvisionnement gazier diversifié, un parc de production électrique flexible et peu émetteur de CO2 et une expertise unique dans quatre secteurs clés : la production indépendante d’électricité, le gaz naturel liquéfié, les énergies renouvelables et l’efficacité énergétique. GDF SUEZ compte 147 200 collaborateurs dans le monde pour un chiffre d’affaires en 2013 de 81,3 milliards d’euros. Coté à Paris, Bruxelles et Luxembourg, le Groupe est représenté dans les principaux indices internationaux : CAC 40, BEL 20, DJ Euro Stoxx 50, Euronext 100, FTSE Eurotop 100, MSCI Europe et Euronext Vigeo (World 120, Eurozone 120, Europe 120 et France 20).
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